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2013 május 25, szombat

En mémoire du 4 juin, 1920

Szerző: Charles Sucsan

Pour les Hongrois, la date du 4 juin, 1920 est ineffaçable de leur mémoire et pour cause, les deux tiers de la Hongrie millénaire furent octroyées à des états, dont l'envergure historique n'avaient aucune comparaison avec le Royaume de Hongrie, premier état Européen organisé sur la base départementale, avec une constitution de la Bulle d'Or de 1222, unique dans les prérogatives de la nation, en cas d'abus du pouvoir royale.

Cet état de fait infâme fut dicté pas les quatre grandes puissances en ayant de maničre machiavélique promis advenant l'armistice de la Premičre guerre mondiale, qu'il "n'y aura, ni vainqueur, ni vaincu". Ce noble objectif fut contrecarré par la haine des Magyars de George Clemenceau et d'Edward Benes. Leur objectif était le démantčlement de la Hongrie millénaire. Leurs lobbying auprčs de l'américain Wilson et l'anglais George Lloyd a réussie de mettre ŕ la poubelle les "quatorze points" de Wilson: condition de l'armistice. Partant de lŕ, dicter les conditions de la paix aux Hongrois, n'était qu'une formalité qui fut fait d'une façon révoltante, en humiliant la délégation hongroise aux arręts de fait, dans leur hôtel ŕ Paris. Du jamais vue! Quand aux délibérations des conditions, aucune suggestion de la délégation hongroise ne fut le moindrement considérées. Le texte du Traité devait ętre accepté tel quel. Le Comte Apponyi, chef de la délégation n'avait d'autres choix que de démissionner s'il ne voulait pas passer pour traître de la nation, en signant ce Dictat. Ce qu'il a fait sur le champ.

Si nous nous référons aux témoignages des personnes présentes ŕ la derničre réunion, oů le Comte Apponyi présenta ses arguments, le comportement méprisable des représentants des Quatre puissances  Ť vainqueurs ť ne faisant aucunement attention ŕ ce qu'il disait en trois langues, et cela fut trčs remarqué. Nous pouvons en déduire aujourd'hui qu'il s'agissait plutôt d'une bande de hors la loi, ayant décidé l'arręt de mort de la Hongrie et cela sans appelle.

Certes, pour qu'une telle attitude soit possible, les préalables derričres les coulisses furent négociés entre les voleurs, y compris avec le nouveau régent de la Hongrie, l'amiral Horthy, qui avec l'aide que la France a fourni par le Colonel Vix, bivouaquant ŕ Szeged Hongrie, il a pris le pouvoir ŕ Budapest.

Il était important pour les Quatre grandes puissances de débarrasser la Hongrie des bolcheviques de Lénine, lesquels n'auraient jamais accepté le Dictat et une fois accepté par l'amiral Horthy, Lénine fut le premier ŕ le dénoncé et ŕ le condamné.

Tout ça pour dire que la Hongrie fut victime d'une conjuration occulte qui n'avait rien ŕ avoir avec les raisons mensongčres avancées pour charcuter la Hongrie.

Depuis ce temps le comportement des états occidentaux envers les Hongrois et la Hongrie est visiblement hostile, pour camoufler leur culpabilité d'avoir créé une des plus grandes injustices envers une nation, dont le passé historique est une des plus grandiose dans l'histoire de l'humanité. C'était aussi une des raisons pour le démantčlement de la Hongrie, du 4 juin, 1920.

Depuis ce temps les Hongrois se souviennent, malgré les pires conditions historiques que l'Occident leurs ŕ imposées et continuent d'imposer encore aujourd'hui, dans le carcan des dédales réglementaires de l'Union Européenne, oů la plupart des dirigeants reflčtent l'esprit du Dictat de Trianon, sachant fort bien que tôt, ou tard, il faudra rendre justice aux Hongrois.

Rien ne le reflčte mieux que lors du changement de régime communiste en Hongrie en 1989, le Département d'État Américain convoquant des politiciens potentiels pour diriger la nouvelle Hongrie. Deux questions inquiétaient la communauté internationale: la question du Dictat de Trianon et la dette extérieure de la Hongrie.

Hélas, les coupables du Dictat ils ont vite trouvés des acolytes dociles pour les mettre au pouvoir en Hongrie et ainsi écarter le danger d'une remise en question des Traités injustes et autres contentieux avec l'Occident. C'est ainsi que les nouveaux vassaux de l'Occident en Hongrie, ils ont refusé l'offre du gouvernement Kuchman de l'Ukraine, de rendre la partie hongroise, hérité de l'empire Soviétique, de peur de déstabiliser le Bassin des Carpates et révéler au monde entier l'infâme injustice subie par la Nation hongroise.

Malheureusement cette conjuration permanente contre la Hongrie, elle a aussi d'autres objectives, entre autre: la défense d'interpeller les coupables des crimes contre l'humanité perpétré par le régime soit disant Ť communiste ť qui a aussi engendré la révolution et la guerre d'indépendance de 1956.

Si d'aucun veulent ętre objectif dans la description véritable de 93 derničres années de l'histoire de la Hongrie et de la Nation hongroise, le voile de l'hypocrisie et des manigances occultes des soit disant démocraties tomberait, pour les démystifier, dont les répercussions ŕ l'échelle mondiale seraient imprévisibles.

Ce qui est rassurant, c'est que l'émergence de la vérité est inévitable dans un proche avenir, car il est impossible que l'humanité puisse survivre par l'immoralité des états dans la conduite des peuples.

Malgré tous les mensonges séculaires sur les Magyars, comme toujours dans l'histoire, ils ont su montrés que la sagesse de Mages de la Nation Mage = Magyar, quelle morale est salvatrice de l'homme et de l'humanité.

La communauté internationale n'a d'autre choix que de rétablir la Hongrie millénaire tôt, ou tard, dans la justice et l'équité des peuples. Autrement la plančte sera invivable, si partout l'injustice prévaut. Ce ŕ quoi aspirent les Magyars chaque année, en remémorant le 4 juin, 1920.

Charles Sucsan

Libre penseur

www.sucsan.ca

Hozzászólás  

+1 #1 Merci!Norbert 2013-05-26 13:38
Bien dit Monsieur Sucsan!
Trianon fait mal mais personne ne fait rien...que la guerre de fauteuil :( Il'ya toujour un traître!
Bon sante a vous et long vie!

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